Espace témoignage-IVG : elles ont avorté, elles témoignent

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Elles témoignent dans la presse 

 

"J’ai avorté deux fois et je ne souhaite à aucune femme de vivre ça. C’est trop douloureux."

Nathalie - 35 ans - comédienne Source : Elle

 

 "J’étais groggy en sortant de l’hôpital ; j’ai mis du temps à réaliser. J’ai joué à la forte. Avant de m’effondrer en larmes en criant : “mon bébé est à la poubelle”. Ne croyez pas ceux qui vous disent : ce n’est rien du tout."

Leïla Source : L’Humanité

 

 "J’ai l’impression que je me suis tuée, j’ai tué une idée de moi. Cet enfant, je le voulais, donc ne pas l’avoir eu, c’est ne pas avoir été à la hauteur de l’humanité... J’ai l’impression que c’est la société qui m’a eue."

Lorette Thibout Source : L’avortement 20 ans après - Albin Michel

« Après l’opération, toutes pleuraient, et l’une hurlait « my baby, my baby ». C’est son petit ami qui l’avait exigé. »   Le traumatisme post-avortement, Dr Florence Allard, Jean-régis Fropo

 

« Nous étions dans les années 70. Un matin pluvieux, je me suis donc retrouvée à la gare du nord avec une quarantaine de femmes. Un car recouvert de banderoles « Notre ventre nous appartient », « MLF vaincra » nous emmena en Angleterre. Pendant tout le trajet, on a chanté à tue-tête, heureuses, on était des « femmes libérées ». Mais à la clinique […] c’était sinistre, les médecins faisaient cela à la chaîne. […] J’étais sonnée, j’avais souffert malgré l’anesthésie locale, je me sentais culpabilisée, mal dans ma peau. Au retour personne ne disait mot. Chacune gardait en elle des images de blouses blanches et de spéculum. Je crois qu’on pleurait toutes. »

Le traumatisme post-avortement, Dr Florence Allard, Jean-régis Fropo

 

 "J’ai avorté en 1996, parce que mon compagnon n’était pas prêt à assumer un enfant. Depuis, il ne s’est pas passé une journée sans que j’éprouve regrets, remords, honte et chagrin. Si je pouvais revenir en arrière, j’enverrais cet homme sur les roses et je garderais mon enfant pour l’aimer autant que j’aime maintenant ce petit garçon que je viens d’avoir et dont je suis folle. Mais il est trop tard, hélas. Alors, quand je lis que des femmes ont avorté trois ou quatre fois sans états d’âme, franchement, je regrette qu’elles aient des enfants."

Edwige Source : Elle

 

 "(...) Mon IVG a eu lieu sous anesthésie générale, elle a duré dix minutes, mais je suis resté toute la journée à l’hôpital à pleurer : j’avais perdu ma petite fille pour toujours. C’est bizarre, cette fixation que j’ai pu faire sur cet embryon de quelques semaines. C’était une fille, j’en suis sûre, elle se serait appelée Marine. Je la voyais jouer avec son grand frère et éclater de rire. En me faisant avorter, sa vie venait de s’arrêter. J’ai essayé d’analyser ce désir d’enfant avec un père qui n’existait pas. Cela ne me ressemblait pas, je rêvais d’une véritable famille unie. Mais le temps en avait décidé autrement. (...) Six mois après, j’ai toujours mal. (...) Avorter, c’est une blessure qui ne guérit jamais."

Marianne - 35 ans Source : Femme Actuelle

 

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Comments

un choix, vraiment?

Ce que je remarque, c'est que les mouvements "pro-choix" présentent l'avortement comme un choix. Or, qu'elles le regrettent ou qu'elles disent s'en porter mieux, quand on parle avec les femmes qui ont avorté, la première chose qu'elles affirment est: "de toute façon, je n'avais pas le choix."

Peur que le conjoint s'en aille, peur de perdre son travail, de devoir arrêter ses études, d'être rejetée par son milieu familial. J'ai tout entendu et j'ai compris que l'avortement n'est jamais un choix. Pour beaucoup de femmes, c'est presque devenu un devoir. C'est atroce ! Cela devait nous libérer, et c'est devenu une obligation de plus. Tu es enceinte? Tu ne l'as pas voulu? Tu ne l'as pas prévu? Tout le monde te fait comprendre que tu n'as pas intérêt à le garder.

Les pro-choix sont juste des gens qui choisissent d'abandonner les femmes en détresse en les convainquant qu'avorter est la meilleure solution. Ca leur évite de nous aider, voilà tout.

En face, il y a les provie: des associations qui se mettent en quatre pour aider les femmes à garder leur petit. Evidemment, cela demande plus de volonté, de courage et d'engagement que de dire: avorte, tu n'as pas le choix. 

Avortement

Je vais me faire avorter le 3 juin 2011 sous anésthésie générale. J'en ai très peur même si je sais que c'est cette méthode que j'ai choisi, et pas l'autre car elle me faisait d'autant plus peur.
L'IVG est une solution qui existe heureusement pour les femmes en detresse. Personnellement j'ai 18 ans, un copain depuis 3 ans qui m'aime et avec qui je me vois faire ma vie ainsi que mes futurs enfants. Malheureusement à 18 ans, en plein dans mes études le moment est mal venu.
Je rejette totalement ce bébé, donc l'IVG est pour moi une évidence. Et je comprends totalement les femmes qui après l'IVG n'ont pas de remords, se sentent "débarassées". Pour moi qui n'ai pas encore avorté, j'ai vraiment hate car c'est un poid très lourd. Mes parents ne sont pas au courant, j'ai des amies et un copain qui me soutiennent, mais je ne vis pas très bien le fait d'etre enceinte si jeune. Je pense que je serai heureuse une fois que l'opération sera terminée, je reprendrai ma vie normalement (j'ai deja les symptomes des premiers mois de grossesse comme les nausées, etc...) et je ne pense pas que le fait d'etre heureuse de me débarasser de cet enfant soit considéré comme mal, ou que l'on puisse dire que je n'ai pas de coeur.
Au contraire, j'adore les enfants, j'en suis dingue et j'ai vraiment hate d'en avoir un a moi, et de préférence avec mon copain actuel, mais celui ci n'est juste pas arrivé au bon moment. Les médecins sont étonnés de voir que je vis aussi bien cette IVG, meme si evidemment, j'ai mes peurs et mes doutes comme tout le monde.
J'espère que ce témoignage va servir aux filles et aux femmes qui comme moi se sentiront soulagées après ce moment difficile. 

L IVG UN CHOIX QU'IL NE FAUT PAS DIABOLISER

J'ai 28 ans, je suis maman d'un petits garçon de 3 ans que j'aime plus que tout. Son père et moi l'avons désiré de tout coeur. Puis les pb de couple apparaissent les menaces de divorce et un soir l'irréparable arrive : je tombe enceinte mais cette grossesse je ne la veux pas. J'en parle au papa qui après quelques jours de doutes finalement se prononce contre l'avortement. Je suis dans l'impasse avorter signifie pour lui la fin certaine de notre histoire, mais je l'aime dois-je alors accepter une grossesse que je ne déisre pas? j'ai dis non, c'est à moi de décider ce qui est le mieux pour moi,  je crois en la vie sur cette terre car au delà des croyances personne n'est jamais revenu alors il faut aussi penser à soi avant de penser aux autres. J'ai repris mes études en droit et un anfant ce n'est pas anodin, il faut aussi l'assumer et lui garantir un avenir. Si je m'oublis un matin j'aurai aussi des remords, les enfants auront quitté la maison, peut-être que je serai divorcé et finalement je me réveillerai avec mes vieux démons : l'envie de m'accomplir professionnellement. Alors j'ai parcouru les forums et tout le monde juge tout le monde, moi je le dis haut et fort oui j'avorte non je ne me cache pas derrière la législation, non je ne cherche pas d'excuse pour avorter, c'est mon choix, c'est ma vie, c'est mon cops ! un  jour si je suis encore mariées avec mon époux je porterai la petite soeur ou frère de mon fils mais avant que tel soit le cas il faut avant tout que je sois en paix avec moi même. Ce samedi ma vie reprendra son cours normal pourquoi devrait-on montrer du doigts une femme qui a fait ce choix, pour moi ces femmes ont du caractère et on su prendre leur vie en main, combien de mère mette au monde des enfants qui sont battus violés, qui ne connaîtront jamais l'amour d'une famille et qui vivent dans la peur, parlons du cas des bébés congelés ou défénestrés de telles mères n'ont pas la fibre maternelle, moi je l'ai même sii je vais avorter !

J'ai 19 ans, j'ai subit une

J'ai 19 ans, j'ai subit une IVG par aspiration hier matin..

Le jour ou j'ai appri que j'étais enceinte, je me suis éfondré. Je n'étais plus avec mon copain depuis presque un mois, et nous n'avions plus du tout de contact. La première chose que j'ai faite est d'appeller ma meilleure amie, elle est venue tout de suite me voir pour me rassurer et m'a convaincu d'appeller ma mère et de la mettre au courant. Ma mère a vraiment assuré, elle à tout de suite tout pris en main. Ce n'est que quelque jours plus tard qu'elle l'a annoncé à mon père. Il est vrai que la question de l'avortement pour moi ne s'est pas vraiment posée, je suis étudiante, j'ai encore de longues études à faire et je n'ai vraiment pas les moyens financiers pour avoir un enfant, l'IVG était pour moi la meilleure solution, il était hors de question que j'accouche pour mettre mon enfant aussitot dans un orphelinat  ... Ma mere a donc pris tout de suite rendez-vous avec le médecin, il m'a prescrit une ordonnance pour une prise de sang puis pour une échographie, puis on a discuté de l'IVG, son devoir de médecin étant de rappeller que l'IVG n'est pas un moyen de contraception et que l'on ne doit pas prendre ça à la légère, puis il m'a donner un certificat pour l'avortement et le numéro du centre d'orthogénie. Tout est aller ensuite trés vite j'ai appellé le numéro et pris deux rendez-vous. Le premier étant avec un médecin de l'hopital et avec une conseillère conjugale et familliale ( je tiens a dire que rencontrer la conseillère n'est pas obligatoire pour les femmes majeure et parfois il ne propose pas de rdv avec elle, mais je conseille quand même ces rendez-vous , parler à quelqu'un peut faire du bien . ) Il faut aller au premier rendez-vous avec la prise de sang et l'échographie. J'avais un peu peur de ces rendez-vous, surtout le fait de rencontrer la conseillère, j'avais peur d'être mal jugée, je me sentais un peu honteuse... Mais elle a été vraiment super avec moi,trés à l'écoute. Puis le médecin à calculer les délais, j'avais dépassé les délais pour une IVG médicamenteuse, l'aspiration s'est donc imposée. J'ai pris le deuxième rendez-vous une semaine aprés, pour l'IVG. Ce jour là j'étais à 10 semaines et quatres jour de grossesse. Je n'avais rien dormi de la nuit j'étais un peu fatiguée mais surtout j'avais trés peur et j'avais toujours se sentiment de culpabilité. Le médecin m'avait donner un médicament à prendre juste avant l'intervention, deux comprimés, je ne me rappelle plus du nom, cela provoquait la dilatation du col de l'utérus, il m'avait avertis que cela pouvait provoquer des saignements et parfois même une fausse couche mais pour moi rien de tout ça, juste quelques mots de ventre comme des règles un peu douloureuses. Une fois arrivée à l'hopital, on me conduit dans ma chambre, il y'avait une autre jeune femme qui allait se faire avorter comme moi. J'ai du prendre une douche (en plus de celle de la veille et du matin même chez moi) mais cette fois entièrement avec de la bétadine, j'ai revetu leur robe d'hopital et me suis mise au lit (ma mère et ma soeur était là jusqu'a ce qu'on m'emmene en salle d'opération). L'infirmière m'a mis une perfusion avec plusieurs produits : du spasfon pour la douleur, un produit pour empecher les vomissements, et un autre produit me me "détendre" elle ne m'a pas dit exactement ce que c'était. Elle m'a ensuite donner une sorte de seringue en plastique qui contenait un gel anesthésiant, je devais me l'insérer dans le vagin comme un tampon pour libérer le gel à l'interieur. Puis j'ai attendu qu'on vienne me chercher. Ma collègue de chambre est partie avant moi, je passais juste aprés elle. Puis ce fut mon tour. On m'a descendu au bloc j'ai attendu toute seule environ cinq min le temps que le chirurgien mette tout en place, ça m'a parut une éternité. Puis on m' installée. Comme chez la gynéco allongée, les jambes écartée, le chirurgien a vérifier mon col pendant que l'infirmière mettait tout en place pour suivre mon rythme cardiaque et ma tension tout le long de l'opération. Il a fait une échographie, puis il ma recouverte de papier stérile, il m'a badigeonner de bétadine et l'infirmière ma mis un produit pour l'anésthésie locale en perfusion. (Le médecin m'avait dis que l'IVG se faisait en locale et parfois en générale et je n'avais pas posé plus de questions, je me suis renseigner aprés et il se trouve que l'anésthésie générale augmente les risques de complications c'est pour cela qu'ils ont privilégié l'anésthésie locale). L'opération a commencer, tout d'abord le chirurgien m'a introduit un spéculum dans le vagin jusque vers l'utérus, cela s'est plutot bien passer, je respirais profondémment pour me détendre et l'infirmière me caressait le bras pour me rassurer ( heureusement qu'elle était là). Puis il m'a mis quatre aiguilles dans le col, Les trois première sont un tout petit peu douloureuse mais c'est supportable, la quatrième est vraiment douloureuse, le chirurgien m'a dit juste avant de respirer un grand coup, la douleur dure à peine 20 secondes mais c'était vraiment insupportable. Puis il a rammenner son appareil pour aspirer l'interieur de l'utérus. Autant dire que c'est un moment désagréable car je sentais son appareil dans l'utérus et j'avais mal au ventre comme des règles trés douloureuses enfin c'est supportable mais désagréable et ce fut comme ça jusqu'a la fin, lorsqu'il m'a dit que c'était fini j'étais soulagée. L'infirmière m'a donner une espece de culotte avec une serviette hygienique pour les saignements, puis le chirurgien a refait une échographie pour vérifier que tout était bon. Je ne sais pas si c'est à cause de la douleur de l'intervention mais une fois fini je me suis mise à vomir (enfin j'ai rien vomi du tout juste une toute petite quantité de liquide jaunatre étant donner que j'étais à jeun) j'avais la tête qui tournait, je me sentais trés faible. Lorsque je me suis levée pour retourner jusque dans mon lit j'étais completement dans les vapes. Puis l'on m'a remonter dans ma chambre. Ma mère et ma soeur m'ont rejoint et la je me suis mise à pleurer, surement le stress et la fatigue accumulée. Puis elle m'ont laisser me reposer avec ma collègue de chambre. Ce n'est que plus tard que j'ai appri que ma collègue de chambre elle avait fait une fausse couche, il n'y'avait déja plus rien dans son utérus et l'intervention ne s'était pas faite. J'ai dormi un petit moment. L'infirmière et revenue plusieurs fois prendre ma tension et vérifier les saignements. La conseillère conjugale que j'avais rencontrer est passer me voir pour discuter un peu. Puis le chirurgien est venu me préscrire des médicaments pour la douleur et une pillule contraceptive à commencer le soir même. J'ai pu rentrer chez moi en début d'aprés-midi. Et je suis vraiment contente d'avoir mes règles que je n'avais plus eu depuis un bon moment, même si elles sont un peu douloureuse c'est un soulagement. L'IVG par aspiration n'est vraiment pas un moment agréable et je ne la souhaite à personne, soyez vraiment sure de votre décision car il faut beaucoup de courage. Ce moment restera graver dans ma mémoire et j'éspère ne jamais avoir à resubir cela. Physiquement et psychologiquement c'est une dure épreuve et je suis heureuse que tout cela soit fini. Même si ma culpabilité n'est pas tout à fait partie et je pense qu'elle ne disparaitra jamais. Mais je sais au fond de moi que j'ai pris la bonne décision. Maintenant à moi de prendre soin de moi et de prendre toutes les précautions necessaires. Cette experience m'a fait murir et je vois la vie différemment maintenant. Ce témoignage n'est pas la pour effrayer celles qui voudraient se faire avorter au contraire, je raconte ce que j'ai vécu et j'éspère répondre au questions que vous vous poser tout comme moi je me les posais. Je soutiens à fond toute celle qui passe par l'IVG car il faut une force et un courage immense.

VIDEO NO NEED TO ARGUE

J'ai subi un avortement en 1997 au PAYS BAS . Cette video est horrible et fait passer les femmes pour des criminelles. Croyez vous que l'on décide de se faire avorter par complésence ou que l'on utilise cette méthode comme contraception. Certainement pas.Les femmes qui ont pris cette décision en ont toutes souffert. On ne sort pas d'une IVG sans sequelles psychologiques .Un jour une infirmiére m'a dit vous oublierez l'orsque vous aurez un autre enfant.C'est faut on oublie jamais.La blessure ne s'efface jamais. Quel est l'objectif d'une telle vidéo? Choqué sans aucun doute mais etes vous certains que cela soit la bonne méthode? Avez vous pensez aux conséquences sur ces femmes ? Certainement pas, vous vous en foutez , vous nous méprisez alors que vous ne connaissez rien de nous ,de nos histoires, de nos parcours de nos souffrances.

Mon IVG

J'ai 26 ans aujourd'hui, ingénieur deux enfants (6 et 2 ans) et j'ai eu ma première et dernière IVG à 18 ans je venais d'avoir mon bac. J'étais jeune amoureuse d'un homme de 30 ans homme d'affaire.

C'étais ma première fois et je suis tombé enceinte. j'étais paniqué, je l'ai apellé pour lui annoncé la nouvelle et lui ma répondu et alors tu l'enlèves c'est simple. J'ai compris que se n'étais pas la première fois que ça lui arrivé et que je n'étais qu'un coup.

Mes parents ne savais rien j'ai donc fait les demarche mais faute de place mon IVG a été programé à 12sa - 2 jours.

Je voulais le garder mais je ne pouvais pas j'avais peur. Je me suis dis s'il me rapelle je le garde. Jusqu'a la dernière minute j'attendais un appelle de lui. Rien. J'ai tué mon bébé dans l'indiférence la plus total. Personne n'a jamais su. Depuis je n'arrive plus a aimé j'ai fait mes enfants avec des hommes que j'ai utilisé comme lui ma utilisé. Je rêve souvant que je suis entrain de tuer mon bébé avec un couteau et lui me regarde pleurs et ne comprends pas.

j'ai repris contacte avec le papa pour en parler quand il a vu mon fils il a cru que c'était le sien et que je l'avais gardé et c'était comme s'il remué le couteau dans la plais. Pour finir je lui ai donné rendez vous il est venu bourré pour me dire qu'il aurai aimé que je garde le bébé.

Je suis anéanti quand je vois mes enfants je me dis qu'il manque leur frère ou leur soeur de 7 ans.

Si j'avais vu ces vidéo j'aurai probablement fais un autre choix. Aujourd'hui les regardé c'est un efaçon de me punir en quelque sorte car se que j'ai fait est impardonable. et rien ne justifie mon acte. On a pas le droit pour une question de confort de décidé de l'existance d'un petit être.

Nous n'avons droit a aucune compassion ni aucun pardon.

 

J'écris ces mots pour te rendre hommage mon petit tu aurais du naitre le 12 Avril 2003 on t'a oté de mon ventre le 19 septembre 2002.

Tu n'es pas le seul a être mort se jours la.

 

 

confession

Si tu veux retrouver la paix intérieure, il faut que tu ailles voir un prêtre et que tu te confesses. Après avoir demandé pardon à ton bébé et à Jésus, tu te sentiras beaucoup mieux. Ta conscience sera lilbérée d'un poids énorme.

Allez, courage! Je pense bien à toi.

l'ivg c de la merde

 moi c'est pire j'étais sous implant mais comme je le supportai pas on me la enlever et le gygy m'as dit je ne peut pas vous prescrire de pillule pr le moment tant que vs avez pas eux de regles puis 4 mois c'est ecouler et j'arretai pas de stresser en plus mon compagnon me disait c'est pas grave on auras un autre bébé j'était heureuse, puis j'ai pas arreter de faire des test négatif et toujours pas de règle ( mais comme pr ma premiere fille sa c pas vue avant 8SA) en septembre j'ai perdu mon grand-père et le jour de l'enterrement j'ai fais un test de grossesse et il etait possitif  j'etait contente et en même temps triste et le lendemain je refais un test cette fois négatif j'ai pleurer encore plus au mois d'octobre j'ai decidé de faire une datation de grossesse car javai les seins lourd etc.... et quand on ma fait l'echo il a dit non vs etes pas enceinte j'étais déçus  puis le temps est passée on arrive en novembre et depuis une semaines j'arretait pas d'avoir des naussés donc j'ai fais une prise de sang et la j'étais a 207 680ui/l j'etai as 10SA j'ai cru que le ciel me tombait sur la tête car je me séparait avec  mon conjoint  mais j'étais contente je voulais le garder sauf que des je lui est dit il ma dit" NON tu avorte j'etais abasourdie" en plus il une SPA une maladie rare et il est sous enbrel donc RDV avec le GYGY et il a donner raison a mon conjoint je pleurais il ma dit qu'il aurait une malformation donc jai fais l'IVG  et il m'ont dit que tout c'etait bien passée mais des que je me suis reveiller j'avais mal au ventre et en + des que je suis allez au toilette plein de sang j'etait tres mal donc donner des calmant à 18h il m'ont que je pouvais partir tjrs mal au ventre le lendemain les infermiere me rappel je leur dit et direct revenir en urgence il me restait des résidus j'ai en paniqué malheureuse, et maintenant je pert du lait pourquoi? pour me rappeller que j'ai tuer mon bébé c affreux je regrette et j'ai mal

Et la réalité dans tout ça??

Vos témoignages sont exclusivement négatif.. Ce n'est pas du journalisme, qui lui est sensé montrer les deux parties, pour et contre et rester neutre!

Ok, il y a des femmes qui ne s'en remettent pas.. Tout comme il y a des femmes qui ne se remettent pas d'un viol, qui ne se remettent pas d'une séparation, ou qui ne se remettent aps de la mort de leur caniche.. Ce que je veux dire, c'est que chaque personne à son seuil de traumatisme, certaine surmonteront un viol et pas une séparation, alors que d'autres si, etc..

Pour ma part, je me suis fait avorter, plusieurs fois.. Je prends un contraceptif, je n'ai pas de conduite à risque, mais malheureusement, le préservatif craque, ou bien je passe la sécurité des 99,99% de sûreté de la pilule, etc..

Je voulais faire partager mon expérience.. Un aller retour chez le dentiste? Et bien oui, pour moi en tout cas! Je me suis débarassée, et avec joie d'une carie qui me faisait souffrir! Et je l'ai oubliée le lendemain! pas de remords, pas de séquelles...

Je ne dis pas que toutes les femmes sont comme moi, mais j'en connais plus qui n'ont pas de séquelle, comme quoi, la presse...

 

Jade

comment pouvez vous faire

comment pouvez vous faire allusion a une carie comme a un bébé, c'est un etre humain une partie de vous que vous avez laisser tomber,

c'est une partie de vous, c'est votre chair c'est votre sang.........

si vous n'avez aucune sequelle et pa de remrd c'est que vous avez un coeur en acier.

Nabila

Etonnant

Un site qui se veut neutre et je ne lis aucun témoignage de femme qui a très bien vécu son IVG. Et pourtant j'en connais plein !

Je veux rassurer les femmes qui en ont peur. Une IVG peut très bien se dérouler et ne laisser aucune séquelle. Tout comme une grossesse ne s'achève pas forcément dans une dépression post-partum, une IVG ne se conclut pas automatiquement par une dépression. 

Pour celles qui le choisissent l'IVG peut être une solution, une bonne solution.

Laissons les femmes choisir et soutenons-les dans leur choix.

Attention à ce que tu entends

Attention à ce que tu entends autour de toi ! il y a des femmes qui se sont fait avorté, et qui disent qu'elles le vivent très bien. Mais certaines peuvent mentir. Il y a des gens qui sourient, qui disent qu'ils vont bien, qu'ils sont épanouis...mais c'est juste un masque. Certaines femmes qui ont avorté peuvent montrer, extérieurement, qu'elles se portent bien, mais à l'intérieur, elles peuvent cacher une grande détresse.

Parfois, dans la vie, on sourit, on dit que tout va bien pour nous...mais c'est juste un masque. Par exemple, certaines personnes disent quelquefois: "Comment savoir ce qui se passe dans la tête des gens?" Je trouve cette question intéressante.

Je refuse d'admettre l'idée qu'une femme qui a avorté puisse ne pas avoir de troubles psychologiques, ne pas souffrir..... Serait-il vraiment possible qu'une mère puisse tuer son enfant et ne jamais avoir de remords, ni de troubles psychiques? Non, je ne peux pas croire ça.

 

Heureusement que j'ai avorté

Tu refuses d'admettre l'idée qu'une femme puisse avorter sans éprouver par la suite des troubles psychologiques tout simplement parce que pour toi une femme enceinte est une "mère" et le foetus est déjà un enfant.

Or une femme qui veut vraiment avorter ne se sent pas mère, et crois-moi, si elle n'est pas prete à être mère il vaut mieux pour tout le monde qu'elle avorte.

J'ai avorté il y a un peu plus de 10 ans et je ne le regrete pas. Si je ne l'avais pas fait je vivrais maintenant un enfer et l'enfant avec moi, le potentiel "papa" étant un type peu recommandable. C'est une longue histoire, j'ai fait l'erreur de tomber amoureuse de lui, puis de le subir pendant un trop long moment, mais l'idée d'embarquer un enfant avec moi dans cette galère m'a fait réagir et heureusement !

Peut-être crois-tu que je m'illusionne, que j'ai forcement des regrets ou des troubles, une souffrance cachée.. il m'est impossible de te démontrer l'inverse, surtout via internet, mais vraiment depuis 10 ans je n'ai jamais regrété mon choix, même pas un centième de seconde. Pour réussir à comprendre il faudrait que tu puisses t'imaginer dans ma situation de l'époque, ou bien te mettre à la place d'autres femmes qui vivent des situations semblables. Etre enceinte ça n'est pas forcement se projeter dans un avenir de mère comblée..

Heureusement que je l'ai gardé

Je voulais te dire, je suis tombée enceinte il y a 7 ans, moi je n'en voulais pas je ne me croyais pas prête et mon ancien compagnon lui il le voulais, donc je l'ai gardé parce que j'avais peur de souffrir, ensuite mon petit bout est arrivé, mon ancien compagnon n'a plus voulu assumer son rôle de père, honteux surtout que lui il le voulait, et à l'heure d'aujourd'hui le père nous fait des problèmes, pas pour son fils mais simplement pour m'embêter. Aujourd'hui je me suis mariée à un homme merveilleux déjà plus que le père biologique, mon époux gère mon fils avec moi, nous lui offrons une stabilitée et ils s'adorent tout les deux.

 

Mon fils à évidement souffert des problèmes que le géniteur nous fait, mais nous lui expliquons qu'il n'y est pour rien, que certaines personnes peuvent se montrer méchants mais que la vie est faite ainsi, il a très bien compris la situation.

 

Ont m'a déjà posé la question si je regreté mon choix, et ma réponse reste la même: " non, et si il était à refaire je le referais, c'est ma plus belle réussite, mon rayon de soleil "

Donc aujourd'hui quand je te lis je me sens obliger d'intervenir et de dire, si moi j'avais fais le choix de l'avortement aujourd'hui je sais que je serais rempli de remords.

 

A toutes les femmes qui ont l'impression d'être dans une situation précaire qu'elles ont peurs de différents choix, faites votre choix, mais surtout faite attention au regret ou complication derrière, car chaques personnes est différentes, si vous souhaitez le garder faite le !!!

 

Maintenant mon fils est en primaire, heureux de vivre toujours souriant, intelligent, et a déjà un choix de métier qui lui est encré dans sa tête " vétérinaire " et comme il dit " docteur des animaux " et il m'adore, nous nous adorons, nous avons passé des étapes de notre vie, pas évidente pour lui, mais j'étais là, je l'ai consolé, disputé, soigné et maintenant il me dit " tu es la meilleure des mamans de tout l'univers ".

 Tu dis que tu ne regrettes

 Tu dis que tu ne regrettes pas d'avoir tué ton bébé.....mais peut-être que le mot "bébé" te gêne et que tu préfères que je dise "foetus". Donc, tu dis que tu ne regrettes pas d'avoir tué ton foetus, que l'avortement ne t'a pas blessée, que tu te portes très bien. 

Alors, pourquoi cherches-tu à t'auto-justifier? Tu as écrit que si tu n'avais pas avorté, tu aurais vécu un enfer, et ton foetus aussi, et que ton compagnon aurait été un mauvais père pour ton foetus. En lisant ton texte, j'ai eu l'impression que tu cherchais à t'auto-justifier, comme si tu sentais bien au fond de toi- même que cet acte que tu as commis il y a maintenant 10 ans, n'était pas quelque chose de bien.

J'ai remarqué que certaines femmes qui se sont fait avorté préféraient ne jamais en parler, garder le silence. Comme si, au fond d'elles-mêmes, elles sentaient que l'acte qu'elles ont commis n'était pas quelque chose de bon. Et le jour où elles osent enfin en parler, elles cherchent à s'auto-justifier. Par exemple, elles disent souvent: "Je n'avais pas le choix", "Il le fallait", "La situation aurait été tellement pire si j'avais gardé cette grossesse", "mon bébé aurait été malheureux....." A les entendre, on a l'impression que la mort de leur enfant (ou foetus), était nécessaire, inévitable. Et en cherchant ainsi à s'auto-justifier, je pense qu'elles cherchent à se rassurer ellles-mêmes, à se dire qu'elles n'ont rien fait de mal.

 

Et enfin, il y a les femmes qui se sont fait avorté, et qui disent: "Oui, j'ai tué mon bébé. Et je le regrette."

Juste un témoignage dans l'autre sens

Je n'écris pas pour me justifier, mais simplement pour témoigner dans le sens inverse de beaucoup d'autres témoignages sur ce site.

Par ailleurs, tu es assez contradictoire : je témoigne et pour toi je me justifie, tu laisses entendre que dans le fond je dois surement regreter. Mais le paragraphe suivant, tu dis aussi que les femmes qui n'en parle jamais ont aussi un problème ! Et donc quoi ? On en parle, on a un problème, on en parle pas, on a aussi un problème.. Finalement, c'est toi qui as un problème : tu ne peux pas admettre l'idée que parfois l'IVG est la bonne solution et surtout que cet acte n'est pas un drame en soi !

 

Je crois que je vais en ajouter une petite couche, comme ça tu pourras dire à nouveau que je me justifie :p

Je n'ai pas peur du mot "bébé", et c'est justement en essayant d'imaginer ce bébé venant à terme et grandissant dans le contexte où j'étais que j'ai fait mon choix.

Je n'ai pas peur du mot "bébé", et je sais qu'il n'est pas adapté pour ce que j'avais dans le ventre. Je sais exactement ce qu'il en est puisque j'ai tenu le foetus dans ma main. C'est un concours de circonstances que je vais raconter, puisque j'aime me "justifier" : depuis que je savais etre enceinte je ne voulais tellement pas qu'un enfant naisse de mon couple pourrit que j'essayais tous les soirs de provoquer une fausse couche, que mon ventre rejete le foetus .. ça n'a pas marché jusqu'à la veille de l'IVG où on m'a donné un médicament décontractant pour aider l'opération du lendemain. Le médicament, ou bien mes précédentes tentatives, ou bien n'importe quoi d'autre, toujours est-il que dans la nuit à l'hopital "j'ai eu mes règles" et finalement le foetus est sorti alors que je prennais une douche.

Je crois que j'étais contente de pouvoir le tenir dans ma main justement pour ne pas me faire de fausses images par la suite, pour ne pas me laisser culpabiliser par des gens comme toi qui voudraient bien que je dise "j'ai tué mon bébé et je le regrette".. et bien non, j'ai décroché un foetus de mon ventre et je ne le regrète pas du tout.

Mais rassure toi, je ne pense pas que l'IVG soit toujours la bonne solution. J'ai eu l'occasion depuis de discuter avec des femmes qui se posaient la question. Beaucoup de femmes ne sont pas dans une situation aussi "simple" que la mienne, j'essaie dans ces cas là d'apporter tous les éléments possibles pour que la décision soit faite en connaissance de cause. Ce qui me semble important, c'est de ne pas avoir à regretter par la suite, ni dans un sens ni dans l'autre.

Mais bon, je crois que tu n'es pas aussi ouverte (ou bien ouvert ??) dans ton approche si pour toi les femmes qui disent qu'elles n'ont pas le choix cherchent seulement à se justifier. Je pense que tu fais passer ta "morale" avant de te préoccuper réellement de la femme et de l'éventuel enfant.

Sérieusement, il y a de vrais meutres tous les jours, c'est vraiment pas la peine de dramatiser l'IVG.

En fait, on est tellement

En fait, on est tellement formatées dans un principe de syndrome post avortement que personne ne peut imaginer qu'il n'y ait pas de suite  psychologique ... Chaque cas est différent. Moi, je trouve que c'est positif pour toi si cet avortement a résolu un problème personnel et c'est d'ailleurs le but de l'avortement en soi ... Arrêtons de dramatiser, chaque cas est différent.

 Oui, l'avortement est pour

 Oui, l'avortement est pour moi un drame horrible.

Oui, l'avortement me pose un problème.

Oui, je refuse d'admettre que l'avortement puisse être une "solution".

Et oui, je suis culpabilisante!

A travers ton texte, j'ai bien senti que tu ne regrettais pas du tout d'avoir tué ton bébé ( ou "foetus"), voire même que tu étais très contente de l'avoir fait. En tout cas, en lisant ton texte, j'ai pensé à ton enfant et ça m'a fait de la peine pour lui.

Quant à la MORALE..... Je me demande si c'est quelque chose qui existe vraiment pour toi. Tu as préféré faire passer ton petit plaisir personnel ( en tuant ton enfant qui te dérangeait), plutôt que de te soucier de la morale.

Voici ma réponse

 Ce que tu dis est triste et décevant.

Dans un clip sur l'avortement, j'ai lu ces paroles très belles: "A mon neveu, à ma nièce.... A tous ces millions de bébés innocents, morts au nom de la "liberté".

Et voici des paroles de Mère Térésa: "Un enfant est un cadeau de Dieu. Si vous n'en voulez pas, donnez-le moi."

C'est joli les paroles de

C'est joli les paroles de mère Thérésa, mais où est la pratique ? De la théorie, de la théorie, toujours !

Personne ne peut imaginer que parfois, l'avortement est un soulagement ... Je trouve cela dommage, d'autant plus qu'on est pas tous chrétiens catholiques. Chacun agit selon ses principes et son éthique personnelle.

avortement - réponse à by-anonyme

Je n'ai jamais avorté, mais, si j'avais dû le faire, je l'aurai fait sans hésiter. J'ai vécu la loi sur l'avortement et je peux dire que cela a été une véritable délivrance pour beaucoup de femmes qui avortaient à l'étranger. Et, pour les autres, de manière illégale en France et dans quelles conditions !!! Vous savez comment se déroulait un avortement ? Non ce n'était pas une partie de plaisir. Pourquoi essayer de culpabiliser en parlant d'anges ? SVP n'avancez pas masqués. Récemment un enfant a été retrouvé mort ... Ses frères et soeurs (au moins 4) sont tous placés depuis leur naissance et vous dites qu'un enfant est un cadeau de dieu ? dieu, dans l'histoire il n'y est pour rien parce que sinon il empêcherait ces naissances, ces enfants privés d'amour, quel avenir ont-ils ?  Les institutions auraient dû faire avorter la mère, je devrais dire plutôt la "fabricante" et prendre des mesures pour qu'elle n'ait plus d'enfants. Mais vous,  les bien pensants, vous continuez  à parler de ce que vous n'avez jamais vécu ................

 Et ton "foetus", tu lui as

 Et ton "foetus", tu lui as demandé son avis avant de le tuer?

tu voulais qu'il me réponde comment ?!

je lui ai demandé plusieurs fois , je lui ai envoyé des mails , des sms , quelques tweets et messages facebook mais pas de réponseS...

tu t'es déja demandé si un foetus pouvait avoir une conscience ? la réponse est non ..

il me semble que tu dois connaitre google , voire wikipédia vu ton niveau. tu recherches ' foetus' , et tu toruveras la réponse à ta question plutot 'débile' si je peux me permettre.

 

TU PEUX EGALEMENT RECHERCHER LE MOT TOLERANCE ET OUVERTURE D'ESPRIT ? allez!

un foetus qui t'embrasse

et lui alors?

Et lui alors "mon foetus" il m'a demandé si j'étais d'accord de l'accueillir dans mon ventre?

Je suis désolée mais je trouve qu'on ne pas pas être si catégorique. Et que par véritable Morale on a pas le droit culpabiliser ainsi les autres de manière purement délibérée et donc méchante quand on sait que ca leur fait mal!

Je me situe pour ma part au milieu : Oui j'ai tué un bout de mon être, un peut-être futur être en développement.

Oui ça me fait et je le pleure cet enfant que j'aimais deja et que j'aurais pu avoir.

Et NON je ne regrette pas. Car OUI c'était la meilleure solution sans la situation et je le sens au fond de moi.

J'ai grandi dans un environnement ou mes parents se déchiraient et un enfant ne mérite pas ca.

Une grossesse peut aussi etre vécue comme un viol. Oui un VIOL, un être qui s'installe sans notre accord dans notre corps c'est un viol. C'est du 50%-50% et si l'un des 2 dit non et bien c'est non. La femme offre un corps, le foetus doit respecter le corps de la femme.

Une femme a le droit comme un homme de vouloir faire l'amour avec celui qu'elle aime sans vouloir un bébé, la différence? l'homme ne risque pas d'etre enceinte. Et ce n'est pas juste que pour cette raison les femmes doivent payer et souffrir.

Pourquoi je parle de futur etre possible et non pas d'un bébé? déjà parce que les fausses couches et les morts-nés sont quand mêmes courants. et pour ceux qui croient a l'ame, elle ne s'incarne pas des le début et il faut ans après la naissance a une ame pour quitter le corps énergétique de la mère pour s'incarner complètement dans son corps.

Donc tant qu'une ame n'est pas présente et liée particulièrement à un foetus, oui c'est un amas de cellules et stop.

Pour ma part je revais d'une famille, j'ai rencontré un homme merveilleux avec qui nous avons immédiatemment voulu une famille, c'était son reve depuis toujours. Au fur et à mesure que le temps passait je commençais a avoir des doutes et une intuition me disait de prendre une contraception (je ne supporte pas les hormones et la gyneco ne voulait pas me mettre de sterilet... super!) mais il refuse a chaque fois.

Mon erreur? je n'aurais pas du lui donner autant d'importance par rapport au choix contraceptif : c'est mon corps et ma vie qui change, lui peut partir sans que ca lui fasse rien, l'avantage d'etre un homme.

Mais voila, je l'aimais, il m'assurait que tout allait bien, qu'il voulait l'enfant etc et puis il est devenu distant, il reportait les choses, j'ai crisé, il n'était plus avec moi et quand j'ai réclamé les changements nécessaires, il s'est défilé. Il m'a obligée a rompre, par son comportement totalement égocentrique et crade : je ne le voyais plus, il m'écrivait pour dire qu'il étteignait son téléphone, si par bonheur je le voyais il était si dégoutant qu'il me repoussait.

En fait il se cachait de lui-meme et tout le monde tombait dans le panneau, c'est tellement facile de faire croire qu'on est génial quand on nie ce qu'on est. Mais voila, a force, j'ai repéré les failles, les petits détails, les contradictions qui m'ont montrés qu'il était en fait instable, voir malade. Biensur quand j'ai essayé de lui en parler, c'était moi celle qui était malade de voir dans les etres des choses négatives qui n'existaient pas.

Bref, la rupture fut obligatoire, bien que je pleurais et hurlais de douleur déjà plusieurs semaines avant de l'avoir pré-sentie. Il était dans son monde, croyait que le monde devait se plier à lui...

Je fus malgré tout soulagée après avoir rompu, je recommençais a vivre après cette préiode sombre.

Mais voila, mon cycle était en retard. J'avais fait l'amour avec lui une dernière fois, après avoir pleuré et réclamé des changements, croyant qu'effectivement ca allait aller mieux. Sauf qu'il mentait, y compris a lui-même. Jamais je n'aurais eu de rapports avec lui le dernier mois si seulement il avait était un peu franc, mais quand on est égoiste...

Je lui ai écris, mais pas de réponse. J'angoissais, je savais que cette fois j'étais enceinte. Je le sentais.

Le test s'avèra positif.

Comment se réjouir? C'est juste atroce.

J'étais seule, j'étais enceinte. Ayant déjà vécue des évenements tragique dans ma vie, la visions d'une grossesse heureuse était LA SEULE chose que j'avais pu garder intacte en moi. LA seule ligne positive de bonheur et d'espoir.

Et voila, je savais qu'elle était deja piétiné et que plus rien de ce que j'avais pu avoir en moi enfant n'avait désormais été épargné...

J'avais été insultée, rabaissée, frappée, abusée, enfermée, violée, étranglée et maintenant mon dernier reve, pour lequel je me battais depuis ma NDE s'éffondrait....

Oui je n'ai pas eu une vie facile et non cette énumération n'est pas imaginaire.

Mon 1er conjoint avait était clair avec moi : si j'étais enceinte, j'avortais ou il me quittait. Autant dire que dès ce moment je n'avais jamais pris ca a la légère et encore moins par la suite.

Enfin, j'avais un petit etre dans mon ventre, je l'aimais deja avec toutes ses possibilités et je savais deja que la seule voie qui s'ouvrait devant moi c'était l'IVG.

J'ai rencontré mon ex-fiancé et je lui ai annoncé, et la subitement face a son envie irréaliste et egocentrique de paternité il s'est mis a pleurer a genoux devant moi, me disant qu'il m'aimait, que je lui manquait et qu'il voulait ré-éessayer et faire une thérapie de couple, qu'il voulait le garder.

Je lui ai dis non, que la création d'une famille passe par l'amour de son conjoint, par une situation saine et stable, financièrement y compris, que s'il n'était pas capable de faire le minimum pour un couple, ce n'était pas un enfant qui arrangerait les choses, lui passait son temps a dormir de fatigue alors qu'il ne faisait rien les derniers temps.

Il n'avait pas voulu se faire soigner, ni faire un effort pour le couple car "ca n'en valait pas la peine".

Il n'en avait rien a faire de moi.... ce qu'il voulait c'était son idée de papa, mon ventre, une simple mère porteuse.

Voila ce que j'étais subitement et il inversa les roles, rendant les quelques semaines de grossesse horribles!

Deja il me dit des le lendemain que j'avais raison et qu'il fallait que j'avorte, pourtant il remettait sur le tapis a chaque fois sa future paternité. Le pauvre, c'était lui qui souffrait, c'était moi la méchante, si le couple avait pété, c'était a cause de mes hormones biensur, maintenant il comprenait! Je lui enlevait son enfant sans état d'ame, oh horrble etre qu'est la femme qui se rejouit de montrer a l'homme son insignifiance dans le processus!

C'est lui qui ne dormait pas, qui vivait la grossesse, pas moi. C'était a vomir. Désormais il m'appelait pour se plaindre et gémir, me dire que c'était le couple qui était enceinte, pas moi! Ou était-il quand le couple se brisait a cause de lui? J'ai halluciné devant tant d'abérration et j'ai su qu'il serait toujours instable comme mon propre père et que ce serait un enfer pour moi et mon enfant si je le gardais, que meme séparait, il m'en ferait voir de toutes couleurs et que surtout il était très loin d'etre pret et encore moins capable d'etre père!

Ayant deja vécu cette situation et étant passée par tant de souffrance y compris la mort, j'ai refusé de rejouer le meme scénario que mes parents. Affreusement triste et blessée, trahie mais déterminé a donner vie a un enfant dans de bonnes conditions. Je crois a l'ame et je les sens depuis enfants, je sais qu'il n'y en avait aucune dans ce petit foetus et ca m'a aidé, et je serais heureuse d'accueillir une ame plus tard, y compris et surtout si c'est celle qui serait peut etre venue plus tard ce coups-ci.

Malgré tout ca, le fait que je sache intérieurement plus fort que tout que c'etait juste, j'ai quand meme l'impression qu'on ma arraché un bout de mon essence, une partie la plus sacrée et profonde de moi, qu'on m'a enlevé mon enfant de mon ventre, et avec lui toute notre future vie possible, qu'on l'a envoyé je ne sais ou sans que je puisse l'atteindre et cela reste atroce. Et je sais que j'aurais aimé et voulu le garder mais que effectivement en fonction de circonstance extérieures qui malgré tout ce que les provie peuvent dire, nous impactent en 1er : je ne pouvais pas la garder. Et ceci n'est pas une excuse, c'est un fait réaliste, triste, douleureux, violent, mais réel et rien d'autre.

 

mes cheres soeurs, votre corps vous appartient, votre vie vous appartient, et c'est d'abord vous, qui vous etes, votre corps et votre vie qui seront impactés. pas forcément autre chose.

meme si certains hommes comprennent la grossesse de manière juste, ils sont minoritaires et eux peuvent toujours s'en aller sans savoir ou la vivre sans que cela change quoique ce soit pour eux.

Choisisissez-bien, qui, quand, ou, comment, mais choississez pour vous, en fonction de vous et prenez soin de vous.

Annais

23ans, bléssée ET fière d'avoir pris la bonne décision.

 Tu penses donc que le foetus

 Tu penses donc que le foetus peut être un "agresseur" pour sa mère?

Oui une IVG peut être une

Oui une IVG peut être une bonne solution voire la seule, ce n'est pas un moment agréable certes....

Il me semble impératif de respecter le choix de toute femme et je suis convaincue d'avoir fait le bon choix il y a deux ans.

Non à l'obscurantisme et à l'égoïsme.

félicitations

je vous félicite pour ce site qui montre l'ampleur de l'avortement dans le monde et en France.

les témoignages que j'ai lus reflètent bien ce que j'ai entendu des femmes ayant avortées.

Elles ont été au Planning familial où on leur a expliqué que l'avortement c'était comme aller chez le dentiste ce n'était rien et qu'il s'agissait d'un amas de cellules.

Ces jeunes femmes disaient que c'était douloureux, une disait "on m'a arraché la vie" finalement on leur avait menti...

Une de ces jeunes femmes avait eu une complication grave suite à l'IVG.

Comment en sommes nous arrivés à pousser les femmes à tuer leur propre enfant !!! Car c'est ce qui se passe dans les plannings familiaux....

Nous devons changer de mentalité et croire en la vie...

C'est de la désinformation

Le planning familial n'a pas besoin d'user d'arguments aussi révoltants que ceux que vous inventez. Vous n'avez jamais sans doute mis les pieds au sein de cette association. Cessez de prendre les femmes pour des idiotes qui ne sauraient ce qu'est un ovule fécondé ou un fétus !

Croire en la vie, c'est la respecter avant tout ce qui, pour moi, signifie que si les conditions d'enfantement et d'éducation ne sont pas réunies (dans le cas d'un viol, d'une grossesse non désirée, etc.), je préfère assumer ma souffrance que provoquer celle d'un être qui n'a rien demandé.

Croire en la vie, c'est aussi considérer que chaque femme est seule juge pour ce qui concerne son corps.

Croire en la vie, c'est enfin cesser d'user de techniques de désinformation dignes de temps de dictatures.

Quand on a choisi de pousser la porte du planning familial, on sait pourquoi l'on vient et en aucun cas cette association ne pousse personne à rien. Elle est à l'écoute de souffrances que vous n'avez pas l'air de percevoir.

 Et la souffrance du bébé

 Et la souffrance du bébé dans le ventre de sa mère, pendant l'avortement, est-ce que vous la percevez?

Le planning familial m'a

Le planning familial m'a pourtant bel et bien montré la porte de l'avortement. La femme qui m'a reçu était fermée sur cette solution, impossible de la garder. J'ai été contrainte, en partie par leur faute, à tuer cet enfant que j'aimais. Je soutiens vos théories sur l'enfantement, mais sur le planning familial, certainement pas.

Aucune désinformation

Il n'y a aucune désinformation sur ce site. C'est justement contre ces allégations grotesques que nous citons toutes nos sources (que ce soit pour cette page pour n'importe quel article de ce site). Chacun peut suivre les liens pour vérifier les articles d'origine. Merci d'aller colporter vos insultes ailleurs.

Aucun mensonge mais une selection biaisé des témoignages

C'est pourquoi j'ai ajouté mon témoignage personnel un peu plus haut : on peut avorter et n'avoir aucun problème médical ou psychologique par la suite, et ne jamais regrété de l'avoir fait.

Je suis d'accord avec l'idée qu'il faut bien reflechir à ce que l'on fait, pourquoi on le fait, et ce qu'on subit une pression exterieur ou est-ce un choix personnel et reflechi ? Et cette reflexion doit etre approfondie quelque que soit l'option (continuer la grossesse ou l'interompre), dans les deux cas on subit des pressions de l'exterieur alors qu'on sera la première à devoir assumer l'éducation ou les regrets après coup.

Mais j'ai bien l'impression tout de même que sur ce site vous souhaitez d'abord dissuader les femmes d'avorter et non pas leur présenter des éléments pour prendre elles-même sereinement une décision. Pourquoi ne publier que des témoignages négatifs sinon ?

oulaa

Je viens de voir la video Mais ma parole c'est l'avortement d'un bébé pas un amas de cellules!!!

J'ai subit un curtage sous anesthesie generale a 9 semaine d'aménorrée et je n'ai eu aucunes douleur et tres peu de saignements! En meme temps qd on accouche c'est tout aussi glauque que la video presentée...meme se faire arracher une dents c'est plein de sanguinol!

Aucune deprime post IVG, le docteur etait adorable tout s'est bien passé. La question est surtout de savoir si on veut vraiment avorter! Si c'etait a refaire aucune hesitation je le referais malgre ses images.

N'oublions pas que tout cela n'est que de la biologie, ce n'est pas un bébé qu'on a dans le ventre mais un amas de cellules,qui ne reflechissent pas, ne ressentent pas d'emotions...je crois que j'ai été bien plus traumatisée par l'arrache de mes dents de sagesses en anesthesie locale!

Donc il faut dedramatiser ou alors garder l'enfant dans tous les cas etre en accors avec ses choix et arreter de se yoyotter le cerveau avec ce genre d'images parce que la chirurgie ca reste difficile a regarder pour n'importe qui sur n'importe quelle partie du corps!

Conclusion le curtage et moisn douleureux et traumatisant que le RU486 car on ne voit rien

Contre l'avortement

Frenchement Tes Arguments Sont Mémee Pas Valables . C'est NimporteQuoii ! Quand On A Un Enfants Toute Femme Devraient L'assumer Toiiii On Dirait Que Tu Te Vente D'avorter Pff Sa Me Dégoute Les Gens Comme ça . Malgrés Tout C'est Ton Choix D'étre Pour L'avortement Mais Ne Compare Pas Sa a Une Rage De Dent Puisque D'autres Femmes En Souffrent . Toi Tu Devrait Penser a Celles Qui N'ont Pas La Chance De Donner Vie a Un Enfant Je Te Trouve éGoiiste .

 

?????????

si tu me trouves égoiste alors je te trouve intolérante et sans ouverture d'esprit ?

Je pense q'une seule chose ma grande , cest que vu ta façon d'écrire et tes pauvres arguments tout faits tu dois pas connaitre grand chose sur ce sujet . Alors au lieu d'écouter PAPA MAMAN et Marine LEPEN à 20H , rentre dans un planning familial , va rencontrer des jeunes filles enceintes faute d'oubli .. mets toi à leur place ! De plus , notre corps nous appartient , cest un droit comme un autre !

 

REAGIS UN PEU

Ce n'est pas glauque d'accoucher

Bonjour,

 

Vous dites que quand on accouche, c'est tout aussi glauque que la video présentée. Mais ce n'est pas du tout glauque d'accoucher... Mes trois accouchements ont tous été les trois plus beaux jours de ma vie, même s'ils ont été longs et douloureux !

Tant mieux si vous n'avez pas de syndrome post IVG, on ne souhaite à personne de souffrir. Quand on lit et qu'on écoute tous les témoignages de ces femmes qui vivent une souffrance énorme depuis leur IVG, ça fait mal au coeur ! Permettez-moi de vous mettre en garde contre le syndrome post IVG qui peut ressurgir dans 10, 20 ans ou même plus ! N'hésitez pas à en parler si cela vous arrive, tous les organismes sont là pour aider les femmes, et non pour juger leurs actes. 

Ce que nous réclamons, ce n'est pas qu'on interdise l'avortement en France mais qu'on puisse proposer d'autres alternatives aux femmes qui se sentent dans une impasse et qui avortent car c'est la seule issue qu'on leur propose.

Signé : un amas de cellulle non prévu par ses parents et qui a eu la chance de ne pas avoir été avorté par sa mère, pourtant très jeune à l'époque.

 

Bravo !moi aussi j'ai gardé

Bravo !moi aussi j'ai gardé mon "amas de cellule" et pourtant le "géniteur " n'en voulait pas !

Il n'en veut pas ??et bien je garde sa part "d'amas de cellule" et la mienne et je me responsabilise face à ce qui sera mon enfant !!

Et on parlait de la grossesse

Vous qui rappelez si bien la menace de syndrome post IVG.

Parlons des traumatismes liés à la grossesse.

Parlons des dépressions post-partum, parlons des denis de grossesse, parlons des épisiotomies, des déchirures, des hémorragies qui peuvent survenir au cours d'un accouchement, parlons du diabète gestationnel, de l'hypertension, des nausées, des vomissements, des hémoroïdes, du corps qui change définitivement, le dos cassé, etc...

Une grossesse peut être merveilleuse, un accouchement peut être merveilleux (j'ai adoré le mien), une IVG peut si ce n'est merveilleuse (je n'aurais pas cette mauvaise foi) très bien vécue et peut protéger une femme de maux bien plus douloureux.

 

Ben voyons ! Un amas de

Ben voyons ! Un amas de cellules qui seraient devenue un être humain !!

Avec des arguments comme les votres, Hitler peut revenir en paix !

Mais qu'est qu'Hitler vient faire ici ?

C'est un peu troublant cette obsession des anti-avortement pour Hitler.

Ce que je veux dire c'est que

Ce que je veux dire c'est que cette vidéo est volontairement provocatrice et ne reflète pas forcément la réalité. Cette femme a surement avortée pour des raisons de santé de l'enfant: exemple ben le coeur ne bat plus, il n'a pas de jambes , il n'a pas d'intestins, des problemes genetiques que sais-je car en france au dela de 12 semaines il s'agit d'un avortement thérapeutique.

Ca ne sert a rien de faire culpabiliser les femmes (et les hommes parce qu'on est deux ) avec ce genre d'images car visiblement cet embryon avait plus de 12 semaines...

critique de l'avortement 'égoiste'

Il y a les cas classique où il faut absolument éviter de trop mauvaises conditions pour la mère ou l'enfant, tout à fait justifiés (mais la récidive doit être surveillée)

Mais il y aussi la vision réactionnaire de l'avortement comme certaines l'ont probablement ici , celle du "mon corps m'appartient" de la femme dégradée en jouisseuse consommatrice qui, ne voulant pas voir plus loin que ses désirs individualistes conçus comme des droits, a perdu tout sens du devoir; tout sens du lien de l'enfantement avec le sacré (donner la vie) et le collectif (perpétuer l'espèce).
Déresponsabilisation de l'individu et désacralisation de la vie qui ont amené à 3 mois la limite légale d'avortement, en attendant plus, toujours plus..
Inconséquence érigée en style de vie, pour que la société du désir tourne à plein et qu'elle permette aujourd'hui à la 'jeune femme moderne' d'être à la fois pour l'avortement le plus libre, contre la peine de mort (pour des coupables lointains mais pas pour l'innocent dans son ventre) et ..écologiste, toujours prête à laisser faire la nature, sauf quand celle-ci s'adresse directement à elle.

Voilà une fameuse vidéo avec un embryon qui lui a moins de 12 semaines, c'est une échographie. En matière d'information et de prévention chez les jeunes cette vidéo serait essentielle (contrairement à la campagne minable dont on parle actuellement):
http://www.youtube.com/watch?v=YTCSqU9gP8s

l'avortement

je suis contre l'avortement car je suis un defenseur de la vie, et des droit de l'enfants!!!, a l'heure actuel la plupart de gynéco et obstétricien ne veule pu pratiqué l'avortement car cela est contraire a la morale; mais ne jugeon pas trop vite les mere qui agisse et passe a l'acte car on ne sais pas la souffrance qui se cache derrière ce geste, Dieu est miséricorde et source de guérison!!!!
Prions pour ces femme qui avorte, pour ces femme qui souffre, et prions pour cette société qui baffou la vie et la dignité de l'Homme!!

Mon Avis

 

Le Centre de Planning Familiale n'est pas un genre de secte qui pousse les femmes à avorter comme vous le dites. Il la propose comme un choix à envisager.

Mais à côté de ça, ils la renseignent sur la contraception, suivent son état psychologique. Son but est de résoudre les problèmes de chacun et de tenir le taux d'avortement le plus bas possible en informant.

Information! Cet article est rigoureusement vrai mais parfaitement partial. Chacun doit se forger un avis personnel en connaissant tous les aspects de l'avortement.

 

D'abord, dire qu'un enfant sera malheureux parce qu'il n'est pas désiré n'est pas vraiment un argument valable. Il y a plein d'autres raisons pour être malheureux, tous le monde est malheureux à un moment ou à un autre. Et puis il y a des enfants non désirés qui sont heureux quand même.

De la même façon, il est faux de dire que l'embryon (même pas foetus) souffre quand on l'avorte. Avant le troisième mois, quand l'avortement est légal, les neurones du cerveaux ne sont pas connectés. L'embryon ne peut PAS souffrir, ni même penser. A ce stade, il est à peu près aussi développé qu'une huître. Je ne dis pas qu'un embryon est comparable à l'huître, il est beaucoup plus précieux. Mais on hésite beaucoup moins à faire souffrir l'huître en la gobant, ou le homard en le bouillant vivant, ou les moustiques en les empoisonnant, ou les vaches en les décapitant, alors que eux (sauf l'huître) souffrent.

Dieu intervient encore moins dans le processus créatif. Pourquoi Dieu serait-il si présent pour déterminer si un ovule est fécondé ou non, alors qu'il laisse certaines femmes stériles, et donne des enfants à des mauvaises mères?

Je tiens à préciser que je ne suis pas un athé extrémiste qui traite le pape de tous les noms. Je crois dans les valeurs chrétiennes comme le pardon, l'amour ou la vie et je respecte ce que l'Eglise a apporté à l'Occident. Je mets juste en doute le rôle de Dieu dans ce débat.

 

L'avortement est un acte grave, c'est pour ça qu'on se sent obligé de justifier. Avorter sans raisons, c'est très grave.

Mais pour moi, ces raisons peuvent être très larges. Si la grossesse compromet un de tes rêves, objectifs ou raisons de vivre, pourquoi la vie de l'embryon devrait détruire la tienne? Si ta grossesse compromet ta carrière, ton couple, tes études, ta famille, tous ce qui est plus cher à tes yeux qu'un nouvel enfant; si tu penses que tu n'es pas capable de t'occuper d'un enfant parce que tu es immature, absente ou que tu vis ta vie à fond; je pense qu'on peut accepter un avortement, tant qu'on sait dire à soi-même pourquoi. L'embryon n'a vécu aucune expérience et ne se rendra compte de rien.

C'est pas un meurtre, tu ne veux juste plus que ce soit toi qui le nourisse, qui le porte. D'ailleurs, pour moi, la solution d'avenir, c'est qu'on puisse sauver les bébés avortés, qu'ils puissent être mis en couveuse pour être adopté. Comme ça, la femme saura que son choix n'a pas provoqué la mort de l'embryon.

 

Dire que l'avortement est douloureux c'est un peu abusé, ça peux pas être plus douloureux qu'une extraction dentaire et encore moins du reste de la grossesse.

 

Personnellement, j'ai 16 ans. Si j'étais enceinte à mon âge, je pense que j'avorterais. S'en occuper serait trop difficile alors qu'on s'occupe encore de moi.

Mais si je tombais enceinte dans 2 ans, je pense que je garderais l'embryon parce que mon rêve est d'avoir un enfant, même pour l'élever seul. Je comprends que pour certains, même s'il veule avoir des enfants, préfère l'avoir avec un père, ou quand leurs études sont finies pour vivre plus sereinement la maternité.

Mais imaginons que j'ai gardé l'enfant que j'ai eu à 16 ans, je n'aurais surement pas fait un autre car le premier m'aurait obligé à vivre une vie éprouvante.

 

Pour terminer, j'aimerais dire que je serais très humilié si je devais me justifier à tout le monde pour expliquer pourquoi j'avorte. Je ne pense pas que la solution pour éviter les avortements excessifs ("les astres sont défavorables") soit l'interdiction d'avorter. Interdire c'est considérer que les femmes qui ont choisi d'avorter ont été manipulé, ou qu'elles sont immorales, vous les dévalorisez.

Chaque personnes doit juste être sensibilisé, savoir à partir de quand l'embryon souffre, le foetus pense. Savoir qu'avorter, c'est définitif. Il faut juste être conscient de ce qu'on fait pour ne pas regretter après.

Avorter c'est tuer!

 Il y a quelque chose de diabolique dans l'avortement. Avorter c'est tuer et enlever à l'enfant à naître son avenir. Ici au Canada les femmes ont le droit d'avorter même à la date d'accouchement. Elles sont envoyées au États Unis pour la modique somme de $20 000 US. Nous avons par contre abolie la peine de mort pour les meurtriers de peur que certaine personne serait mise à mort par erreur! Mais les pauvres enfants à naitre sont innocents.

Notre démongraphie baisse à cause de la contraception et de l'avortement. Des écoles ferment! Cinq cette année dans une petit région qu'on appelle la péninsule acadienne.

Il faudrait montrer des vidéos d'avortement aux jeunes dès qu'ils sont en mesure d'avoir des relations sexuelles afin de leur montrer que le sexe n'est pas seulement un partie de plaisir sans conséquences!

Ici, au Canada, nous avons réussit à combattre le tabagisme en montrant des photos de poumons calciné, de coeur éclaté et de cerveau rempli de sang! En voyant ces images très répugnantes, les jeunes sont moins porté à commencer à fumer! Pourquoi ne pas utiliser les photos de bébés avorter pour convaincre les jeunes qu'ils doivent être responsables?

J'ai eu une mauvaise expérience malgré moi avec l'avortement parce que je n'étais pas bien informer à propos de la sexualité. Il y a tant de moyen pour empêcher qu'un enfant meurent à cause des actions insouciantes.

De plus d'après la science, l'embryon peut ressentir de la douleur dès la 8e semaine! Imaginez quand le pauvre petit se fait arracher les bras et les jambes vivant! Il souffre d'une douleur atroce! Mais tout se passe dans le silence car on ne peut pas l'entendre pleurer our crier car il est prisonnier au fond dans le ventre de la mère.

C'est à cause de ces dérappages que je suis contre l'avortement.

 

 

on oublie jamais

j'avais 21ans quand je me suis faite avorter. j'etais entrain de reprendre ma premiere année à l'université et j'etais en couple avec un homme que jaime beaucoup avec qui je suis toujours d'ailleurs. c'est lui qui m'a déviergé et aprés plusieurs mois disons 5 mois je suis tombée enceinte.je n'en savais rien parce que d'habitude javais tout le temps des retards de régles.mais comme on dit une femme connait bien son corps. j'ai commencé a ressentir des trucs bizarres et a avoir des nausées et je dormais tout le temps.alors mon copain et moi on est parti voir un gynécho.il mont consulté et j'ai entendu des battements de coeur et ils m'ont dit que j'étais enceinte de un mois.le choc total! je me suis effondrée en larmes.je suis devenue malade du coup je pouvais plus marcher et j'étais faible.alors j'ai repensé à mes études a ma famille à mon avenir et mon copin et moi avons décider de l'enlever.ni lui ni moi n'était d'accord mais on s'est dit qu'il le fallait.j'ai avortée 3jours aprés avoir su que je suis enceinte. mais puisque c'était à 4 semaines de grossesse j'ai avorté par voie médicamenteuse.le docteur m'a fait prendre 3 cytotec. aprés c'etait pas vrément un bb qui est sorti mais plutot du sang accompagné dune toile blanche. j'avais eu tellement peur que j'ai tiré la chasse de la chaise anglaise vite faite. aprés j'étais soulagée.mais le 2e jour je devenais consciente de ce que j'ai fait alors je me suis mise à pleurer.et jusqu'a maintenant ça fera bientot un an mais quand je suis seule je passe mon temps à pleurer et à regretter. il faut jamais dire qu'on a pa eu le choix.si on avait le choix mais on a choisi le mauvais.et le pire c'est que aprés on se rend compte que le rapport maman _foetus est fort.avant d'avorter chaque nuit je lui souhaitait bonne nuit et le matin je lui disait bonjour.je le caressait et avan de prendre les médicaments, j'ai prié et j'ai posé ma main sur mon ventre et je lui ai dit "maman t'aime beaucoup" mais je sais qu'il me le pardonnera jamis.j'ai tu" mon enfant et je crois que je vais devenir folle et je sais pas à qui me confier à part mon copin et lui aussi il est malheureux.et si j'avais un souhait aujourd'hui c'est de l'avoir dans mes bras.il devait venir au monde vers fin décembre 2011. il me manque! il me manque telment!