France

"Chaîne de solidarité" pour aider Philippe Isnard

Pour avoir présenté ce qu'est réellement l'avortement lors d'un débat contradictoire en classe de seconde, le professeur Philippe Isnard, du lycée des Iscles à Manosque (Alpes de haute Provence), a été brutalement révoqué, sans indemnité ni traitement, jeté à la rue. Il lui reste 1000 euros par mois pour vivre, avec 2 enfants à charge.

Trouvant cette sanction disproportionnée, une "chaîne de solidarité" a été créée pour l'aider, tant qu'il n'aura pas retrouvé du travail. 

L'aide est à adresser : Revue "Euro-Prospections", - 12 Allée des rosiers, 104 Cours Gambetta, 13100 Aix en Provence.

 

Le délai avant l'avortement est nécessaire selon la Cour de cassation

"Le délai de réflexion de 7 jours, imposé par la loi avant une interruption volontaire de grossesse, ne peut en aucun cas être écourté, a jugé la Cour de cassation. Le médecin sollicité ne peut rien prescrire ni décider tant qu’il n’a pas reçu une confirmation écrite de la décision de sa patiente, laquelle ne peut intervenir qu’à l’issue d’un délai d’une semaine après la première visite de la cliente. Le délai est imposé par le code de la santé publique et un médecin qui accepterait de précipiter les choses engagerait sa responsabilité si, par la suite, sa patiente venait à regretter sa décision. Il risquerait d’avoir à l’indemniser pour des difficultés psychologiques, ont expliqué les juges.

La justice vient de juger fautif un médecin qui avait administré un médicament préparatoire à l’intervention, trois jours après avoir reçu la visite d’une cliente. L’argument du médecin selon lequel, le médicament n’aurait été d’aucun effet si la cliente avait finalement renoncé à l’IVG, n’a pas été jugé acceptable. Selon les juges, l’administration de ce médicament préparatoire a privé la patiente de la sérénité nécessaire au délai de réflexion pour prendre sa décision. La cliente est donc fondée à s’en plaindre et à réclamer des indemnités au praticien."

Source :  le journal de Saône-et-Loire

Bordeaux : nouvelle édition de la marche pour la vie (AJOUT : vidéo)

L'association "Oui à la vie" organisait sa troisième marche annuelle dans la capitale . Sur les pancartes de cette manifestation où de nombreuses personnes étaient venues en famille, enfants compris, on pouvait lire "Sauvons les bébés à naître" ou "Maman, garde-moi, laisse-moi la vie". Présidée par Nicolas Franchinard, l'association prône l'interdiction de l'avortement et plus de place pour la famille au sein de la société.

Source : Nouvel Obs

Avortementivg.com : déjà 3 ans !

Fondé fin avril 2011, Avortementivg.com a rencontré un succès indéniable, du fait d'un manque évident de site d'information spécialisé sur l'avortement. Avec une citation soigneuse de toutes les sources d'informations parmis les plus grands médias (AFP, le Figaro, Le Devoir, le Times, le New York Times, etc.).

En trois ans d'existence, Avortementivg.com a comptabilisé près de 400 000 visites et un million de pages vues avec un traffic en provenance pour les trois quarts des moteurs de recherche comme Google, traduisant la soif d'information du grand public.

Présent sur les plates-formes vidéo (Youtube, DailyMotion, Metavafé, Google vidéo, Kewego, Yahoo! vidéo) avec des vidéos thématique, Avortementivg.com a touché davantage de personnes encore (700 000 vues rien que sur Youtube).

Merci à tous nos fidèles lecteurs qui, nous l'espérons, resteront pleinement satisfaits de notre sélection d'information.

Colonel Reyel - Aurélie : le buzz musical

 La chanson "Aurélie" du chanteur de R&B Colnel Reyel rencontre un succès inattendu, avec bientôt 10 millions de vues sur Youtube.

La chanson est dédiée aux jeunes filles choisissant de "donner la vie" plutôt que d'avorter, dénonçant le manque de soutien des familles dans ce cas.

Elle se termine par l'avis de l'auteur :

Voila ce que je dirais si je devais donner mon avis
Mettre un enfant au monde ne devrait pas être puni
C'est la plus belle chose qui soit
et si tu le nies
c'est que tu n'as rien compris

 

Le gouvernement hongrois lance une campagne contre l’avortement

« La vie du fœtus sera protégée dès sa conception ». L'article II de la partie Liberté et Responsabilité de la nouvelle Constitution hongroise a provoqué de nombreux débats. Si cet article n'implique pas automatiquement une remise en cause future du droit à l'avortement, une nouvelle campagne publicitaire nous donne un premier aperçu de ses possibles applications.

"Le traumatisme post-avortement" par Sabine Faivre

Sabine Faivre est l'auteur du livre La vérité sur l'avortement aujourd'hui. Conférence organisée par les étudiants pro-vie.

Le centre IVG de l’hôpital Tenon (Paris) rouvre ses portes

Fermé en 2009, le centre d’interruption volontaire de grossesse de l’hôpital Tenon (Paris XXe) vient de rouvrir ses portes. Il comprend deux espaces de consultation et un espace dédié à l’accompagnement des patientes souhaitant recourir à une IVG médicamenteuse, et offre un accès à l’unité de chirurgie ambulatoire pour les IVG chirurgicales. Les IVG médicamenteuses sont assurées par deux médecins et les IVG chirurgicales par des chirurgiens volontaires du service de gynécologie-obstétrique. Il est prévu de pouvoir procéder à 500 IVG par an, dont 300 médicamenteuses.

Source : le quotidien du médecin

Essonne : le conseil général débloque une subvention de 300000 €

Dans l’Essonne, obtenir un rendez-vous pour avorter dans les hôpitaux publics est un chemin semé d’embûches. Les services sont saturés, comme le montre le testing réalisé par « le Parisien ». Pour pallier cette situation, le conseil général de l’Essonne vient de recevoir de la région une subvention de 300000 €.

Révoqué pour avoir projeté une vidéo anti-IVG à ses élèves

(Rue89) Après avoir été suspendu quatre mois, un professeur d'histoire-géographie, Philippe Isnard, a été révoqué pour avoir montré à ses élèves une vidéo anti-avortement dont les images sont quasi-insoutenables. La vidéo, projetée une dizaine de jours avant les vacances de la Toussaint, pendant un cours d'éducation civique, juridique et sociale (ECJS) à des élèves de seconde et première, est un film anti-avortement appelé « No need to argue » (« pas besoin de discuter ») et issu du site AvortementIVG.com.

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