France

Nouveau blog pour diffuser le documentaire "No need to argue"

Une nouveau blog a été créé suite à le mise à pied d'un professeur ayant montré les images du documentaire "No need to argue", en soutien au professeur, mais aussi pour diffuser le documentaire sur l'avortement, très difficile,  "No need to argue".

Pour ses auteur, le but du blog

n’est pas d’émettre un jugement sur le bien-fondé ou non de l’Avortement (IVG, Loi Veil du 17/01/1975).
Nous souhaitons simplement contribuer à libérer la parole et l’enseignement sur la réalité de ce qu’est un avortement.

Source : Franc Parlier

Pétition en cours en faveur du professeur suspendu pour avoir parlé de l'avortement

Je soutiens le Professeur Philippe Isnard, de Manosque (France), mis à pied pour avoir, dans un débat contradictoire dans le cadre de l'instruction civique, montré la réalité de l'avortement en regard du point de vue massivement exposé par le Planning Familial dans les établissements scolaires, et présentant l'avortement comme seule solution à la détresse des femmes inopinément enceintes. Lorsqu'une seule vérité est imposée sans discussion possible, le totalitarisme devient réalité. 

Dans le "Pays des Droits de l'Homme", il est surprenant que la liberté d'enseignement ne soit pas, sur ce sujet, comme peut-être sur d'autres, respectée. La seule obligation dans ce domaine devrait être l'objectivité.

Source : http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2010N4853

Marine Le Pen précise sa pensée sur l'avortement

M

C’est tout l’objectif qui est le mien : faire baisser ce chiffre pour tenter de le ramener jusqu’à zéro si c’est possible. On a aussi le droit d’essayer d’être malin quand on fait de la politique. Il faut reposer le problème du respect de la vie dans notre société qui est un problème de civilisation.

Les anti-avortement de Charente ont changé de tête

Ils sont contre l'avortement, contre la fécondation in vitro, contre l'euthanasie et contre l'acharnement thérapeutique. Ce sont les membres d'Alliance pour les droits de la vie, l'association fondée en 1993 par la pasionaria anti-pacs, Christine Boutin. Une structure qui dispose d'une délégation départementale. Son responsable, Henry de Soos, vient de céder la place à Christophe Martin.

Nicolas Dupont-Aignant : "J'aurais voté la loi Veil"

Interviewé par Nouvelles de France, Nicolas Dupond-Aignant a affirmé :

L’avortement, on ne peut qu’être contre. Cependant, il faut en organiser la pratique pour éviter de retourner aux situations dramatiques que l’on connaissait avant 1974. J’aurais voté la loi Veil en ce qui me concerne. Cependant, je pense que l’avortement ne doit pas être un moyen de contraception supplémentaire.

Réponse du professeur suspendu

Les Nouvelles de France se sont procurées le droit de réponse du professeur d’histoire-géograpohie du lycée Les Iscles de Manosques, mis en cause par le Rectorat et les médias pour avoir diffusé un film décrivant l’avortement à ses élèves. Ce dernier explique que la grande majorité de ses élèves n'a pas condamné l'utilisation du film no need to argue, et une classe entière a signé une pétition de soutien, à l'unanimité. Par ailleurs, les élèves interrogés par France 3 n'appartiennent même pas à l'une de ses classes.

Suspendu pour avoir projeté une vidéo anti-avortement

Un professeur d'histoire-géographie a été suspendu quatre mois à titre conservatoire pour avoir montré à ses élèves une vidéo anti-avortement dont les images sont quasi-insoutenables. La réaction des lycéens et des parents, choqués, avait déclenché l'ouverture d'une enquête par l'administration. (lien vers la vidéo : attention ce film peut choquer)

Prière publique tendue à Toulouse

Le rassemblement organisé à Toulouse, comme dans une trentaine de villes en France par l'association anti-avortement SOS Tout-petits, une association catholique traditionnaliste a été tendu. Concrètement, une trentaine de jeunes d'une vingtaine d'années, dont une douzaine de filles, ont prié, à genoux, sur le parvis de la cathédrale Saint-Étienne, sous les quolibets et les chants de nombreux manifestants, des militants du Planning familial, des partis de gauche, de divers syndicats… Chaque camp étant séparé par un cordon de policiers. Autorisés à prier pendant une heure, le petit groupe a demandé dix minutes de plus. D'où un énervement côté manifestants et un petit accrochage avec les policiers. Vers 15 h 15, sous bonne protection, les anti-IVG se sont retirés, via la rue Fermat. Sur le parvis déserté voletaient alors des préservatifs gonflés comme des baudruches.

S'il parle peu de lui, Marcel détaille ses convictions : « On vient prier pour la vie, contre l'avortement. Quand on autorise une mère à détruire une vie, toutes les autres valeurs s'écroulent. » Marcel place son combat sous l'égide de la religion. Et y voit la lutte « du bien contre le mal ». « Je ne représente pas le bien, précise-t-il, mais je sais où il est et j'y adhère. » « On n'est pas des bigots, se défend-il. On aime s'amuser. » « L'avortement n'est pas une vraie liberté », estime à ses côtés Pierre, 21 ans, étudiant en génie civil, et croyant. « Nous sommes parfois d'une même chapelle et nous nous sommes passés le mot entre cathos », explique Bertrand, 23 ans, qui vient de terminer un BTS de compta-gestion.

Source : La dépêche

Souffrances après un avortement (IVG)

La souffrance des femmes après un avortement fait l'objet d'un déni social. La société comme le corps médical ignorent souvent le syndrome post-abortif. Les médecins pratiquant des IVG n'abordent pas ce sujet avec leurs patientes "sans doute parce qu'ils seraient eux-mêmes pris dans leurs propres sentiments de culpabilité".

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