Le planning familial américain couvre les viols et les abus sexuels

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Décidément, la mode est au reportage en caméra cachée pour dénoncer les dérives de l’avortement de masse. Cette fois, c’est en Amérique que l’histoire se passe. Une caméra cachée dans trois centres de planning familial a montré comment l’institution couvrait les viols sur mineurs en pratiquant des avortements secrets, sans informer les autorités ou les parents.


En réponse, le planning familial américain a suspendu deux membres des équipes incriminées.


La première mettait en scène une jeune fille de 13 ans (Lila Rose, de l’association Life Action Films) étant enceinte d’un homme de 31 ans (répréhensible par la loi, puisque assimilé à de la pédophilie), avec des soupçons clairs de viol. L’équipe du planning familial américain a répondu ne « pas vouloir en savoir plus » sur l’incident ou la différence d’âge, mais encourageant Rose à avoir un avortement dans un Etat voisin. En effet, cette vidéo a été réalisée dans l ‘Etat de l’Indiana, où la notification parentale est obligatoire, contrairement à des Etats voisins. Un employé du planning familial ajoute « je me fiche de savoir quel âge il a ».


La seconde vidéo, dans un autre planning familial de l’Indiana a montré exactement le même résultat. C’est dans ce dernier centre de planning familial qu’une personne a été suspendue de ses fonctions. Le planning familial a déclaré qu’il fallait une meilleure formation de ses employés pour suivre les lois des Etats en matière d’avortement et de viol présumé. D’autant plus que le fait de masquer les cas de viols permet aux abus sexuels de perdurer.


Une troisième vidéo avait été réalisée en Caroline du Nord, par Student for Life (les Etudiants pour la Vie). Dans ce cas, une jeune de 15 ans avait prétendu avoir eu des rapports sexuels avec le petit ami de sa mère, de 30 ans. L’équipe reconnaît alors officiellement que « c’est illégal. C’est du viol ». Non seulement l’équipe ne rapporta pas ces soupçons aux autorités, mais ils lui rappelèrent que le petit ami de sa mère pouvait acheter la pilule du lendemain en pharmacie.


Rose a déclaré « avoir plus de vidéo […] dans tout le pays », ajoutant que « ce non-report aux autorité permettent à des prédateurs de continuer leurs abus sexuels sur les jeunes filles ». Le procureur général Steve Carter a lancé une enquête.


Le planning familial américain avait déjà fait l’objet de scandales du même type dans l’Ohio, et pour accepter des dons spécifiquement racistes anti-noirs.


Source : LifeNews (1), LifeNews (2), Vidéo 1 (en anglais), Vidéo 2 (en anglais)